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Pamplemousse (extrait de pépin)
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Une alternative aux antibiotiques
« De plus en plus de bactéries s’avèrent être résistantes aux antibiotiques utilisés auparavant avec succès contre ces mêmes bactéries. Et ce phénomène s’est développé très rapidement ! Aujourd’hui, plus de 80 % de ces agents pathogènes sont résistants à la pénicilline …
Comment utiliser correctement l’extrait de pépins de pamplemousse ?
De façon générale, les indications données par un médecin, un naturopathe, pharmacien ou herboriste sont à respecter lors de l’utilisation de l’extrait de pépin de pamplemousse. Il est également recommandé de consulter les indications du fabricant.
Utilisation interne : prendre le nombre de gouttes adapté dans un verre d’eau ou de jus de fruits, et bien remuer. Les enfants, mais aussi les adultes, apprécient notamment l’extrait, dans le jus de fruits. Un jus d’orange fraîchement pressé s’avère particulièrement bien adapté pour diluer l’extrait puisqu’il en neutralise presque totalement le goût amer. Les comprimés sont à utiliser selon les indications données. Règle générale d’utilisation, il faut prendre progressivement 3 à 15 gouttes à raison de 2 à 3 fois par jour. La lente progressivité permet au corps de mieux s’adapter à l’effet de l’extrait, la dose maximale doit être atteinte au terme d’une semaine environ. Cette règle générale connaît cependant quelques exceptions : lors d’une utilisation répétitive ou dans des cas aigus nécessitant une action rapide du traitement, on peut déjà commencer par un dosage plus fort. Le dosage pour les enfants ou les bébés est évidemment plus faible.
Utilisation externe : la dilution peut se faire dans de l’eau, de l’huile végétale ou de la glycérine. A chaque fois, c’est le même principe : il faut bien remuer ! Lors d’une application non diluée, la peau peut être irritée ou les tissus malades inutilement agressés. S’il s’agit d’une application près des muqueuses, une dilution correcte s’avère tout particulièrement nécessaire.
Que se passe-t-il si le dosage est trop faible ?
Dans ce cas-là, l’effet désiré ne se manifeste pas du tout ou nettement plus lentement que prévu. L’organisme se trouve sans doute purgé d’un certain nombre d’agents pathogènes, de champignons etc., mais la dose n’est pas suffisante pour arrêter totalement une maladie.
Ainsi, dans certains cas, il paraît recommandé d’augmenter la dose quotidienne, répartie en quatre prises ou davantage. Si après une prise prolongée de l’extrait de pépins de pamplemousse l’effet désiré ne se fait pas sentir, on peut alors tenter une dose plus forte. Mais nous ne devons pas oublier que l’extrait de pépins de pamplemousse n’est pas un remède universel et que peut-être d’autres mesures médicales s’imposent. Ainsi, en cas de doute, il faut toujours consulter un médecin ou naturopathe.
Que se passe-t-il en cas de dosage trop fort ?
Même à dosage élevé, l’extrait de pépins de pamplemousse n’entraîne pas d’intoxication. Un homme d’un poids de 80 kg devrait avaler plus d’un litre de cet extrait pour déclencher chez lui une intoxication mortelle. Cependant, un dosage trop fort ou une augmentation trop rapide du dosage peuvent déclencher certaines réactions.
Existe-t-il des effets secondaires ?
La mort des agents pathogènes libère souvent des toxines que l’organisme doit éliminer. La levure Candidas albicans, notamment, dégage des toxines pouvant entraîner une certaine fatigue, des maux de tête, des flatulences ou de légers engourdissements. Les selles peuvent devenir plus fermes. Une bonne hydratation suffit généralement à y remédier.
Pendant combien de temps faut-il continuer d’appliquer l’extrait de pépins de pamplemousse ?
De manière générale, il faut prendre de l’extrait jusqu’à la disparition des symptômes. En cas d’infection aiguë, il faut continuer à de le prendre encore deux à trois jours pour éviter une recrudescence de la maladie. S’il s’agit de maladies chroniques ou de longue durée, il faut s’armer quelquefois d’une certaine patience, qui peut nécessité de semaines voire de mois de traitement avant d’atteindre l’objectif d’une libération totale des symptômes critiques.
Les personnes qui, à cause d’une déficience immunitaire, sont particulièrement exposées aux maladies infectieuses, peuvent prendre régulièrement, à titre préventif, quelques gouttes d’extrait de pépins de pamplemousse.
Quelques réponses aux questions les plus fréquentes
Comment la glycérine servant à diluer l’extrait de base est-elle fabriquée ?
Lors de la fabrication de l’extrait de pépins de pamplemousse, elle est utilisée pour extraire et diluer l’extrait qui serait sans cela trop visqueux. La glycérine est un élément naturel, présent dans toutes les graisses minérales, végétales et animal, on l’extrait par une technique d’hydrolyse. C’est un liquide transparent, incolore, au goût douceâtre. Celle qu’on utilise avec les extraits de pépins de pamplemousse est extraite d’éléments purement végétaux, en général de l’huile de coco.
Quelles peuvent être les causes de l’échec d’une cure ?
Malgré son efficacité et son large spectre d’applications, l’extrait de pépins de pamplemousse n’est pas un remède universel et ne peut avoir des effets thérapeutiques contre toutes les maladies. Si la maladie a été déclenchée par un élément pathogène comme des bactéries, des champignons, des virus ou des parasites, l’extrait de pépins de pamplemousse devrait avoir un effet thérapeutique.
Peut-on prendre l’extrait de pépins de pamplemousse également pendant la grossesse ?
Il n’existe pas encore d’étude scientifique sur le sujet, ce qui peut être expliqué, partiellement du moins, par les coûts dissuasifs qu’engendrerait une telle recherche dont le résultat ne concerne qu’une faible partie de la population. En cas de grossesse, il est recommandé de demander conseil à son médecin ou naturopathe.
Ingrédients : glycérine, eau, extrait de pépin de pamplemousse (20% citrus paradisii) (450 mg de bioflavonoïdes de pamplemousse / 100 ml, contenu naturellement dans le pépin, donc sans ajout), pyridoxine 30 µg / 5 ml.
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* Issue d'agriculture biologique